Boulette de doigté
Il est plutôt tard, j’appréhende déjà le réveil de 6h demain. J’ai voulu fermer les yeux il y a quelques minutes mais ma conscience m’en a empêché. Bon sang, cela fait plus d’une semaine que tu devais écrire ! C’est comme ça que tu veux te fixer de nouvelles habitudes ? Alors me voilà, et tant pis si je mets trois heures pour quelques lignes. Soit dit en passant, trois heures n’est pas un euphémisme : j’écris sur mon ancien chromebook dont le clavier aujourd’hui récalcitrant m’inflige des misères, autant dire que je n’ai pas fini.
Menu incident de la journée.
Alerte merde intersidérale en vue
J’avais presque fini le récit du fameux incident lorsque j’ai appuyé je-ne-sais-où sur le clavier. La page est revenue en arrière et seule une partie (visible au-dessus) de ce que j’écris depuis tout à l’heure a pu être récupérée. Impossible de retrouver le reste. C’est diaboliquement frustrant. Hors de question de tout réécrire : je m’endors assise, les mains posées sur le clavier, les yeux clos. Cela attendra demain.